Si vous rêvez de devenir marchand de biens, sachez qu’il ne suffit pas d’aimer l’immobilier pour réussir. Comme le soulignent Claire & John Bengtsson, la dimension financière est la clé !
La maîtrise des défis financiers et stratégiques
Lancer une première opération nécessite des fonds conséquents, mais surtout une capacité à gérer les aléas. Les imprévus, tels que des travaux supplémentaires ou des retards administratifs, peuvent vite transformer une opération prometteuse en véritable casse-tête. Selon eux, c’est ici que réside la différence entre un amateur et un professionnel aguerri : l’anticipation et la préparation.
Une bonne stratégie financière repose sur une estimation précise des coûts et des délais, ainsi que sur une marge de manœuvre suffisante pour absorber les imprévus, explique John Bengtsson. Et Claire d’ajouter que ce métier, c’est un peu comme jouer aux échecs. Chaque mouvement doit être calculé, chaque décision, mûrement réfléchie.
Un exemple frappant cité par Claire & John Bengtsson concerne un projet complexe mené à Paris. Le bien, un immeuble ancien, nécessitait une rénovation complète pour être divisé en appartements. Au départ, tout semblait aligné : emplacement prometteur, coûts estimés raisonnables, délais réalistes. Mais rapidement, des imprévus sont survenus, notamment des problèmes structurels inattendus et des retards liés à des autorisations administratives qui ont mis en péril la rentabilité. Grâce à leur expertise et à leur gestion prudente des finances, ils ont su limiter les pertes et terminer le projet avec une marge modeste mais satisfaisante.
Pour sécuriser leur activité, les marchands de biens expérimentés diversifient souvent leurs opérations, car cette approche limite les risques en ne dépendant pas d’un seul projet, tout en augmentant les chances de succès global. Selon Claire Bengtsson, diversifier, c’est s’offrir un filet de sécurité, en cela lorsque vous misez sur plusieurs projets simultanément, les succès compensent parfois les échecs.
La construction d’une réputation solide
Le métier de marchand de biens repose aussi sur une qualité souvent sous-estimée : la réputation. Dans ce secteur, où la confiance est primordiale, travailler avec sérieux et transparence est essentiel. Claire & John Bengtsson insistent sur ce point : un marchand de biens qui respecte ses engagements, qu’il s’agisse des délais, des travaux ou des paiements, construit une image de fiabilité. Et cette image ouvre des portes, qu’il s’agisse de partenariats ou d’opportunités d’affaires.
Un réseau bien établi est une autre clé du succès, expliquent-ils. En collaborant avec des agents immobiliers, des entrepreneurs, des avocats spécialisés et des notaires, les marchands de biens peuvent accéder à des opportunités en amont du marché. Être bien entouré vous permet non seulement de détecter les meilleures affaires, mais aussi de les mener à bien dans des conditions optimales, affirme John Bengtsson.
Une bonne réputation attire également les meilleures équipes – architectes, entrepreneurs ou juristes – et permet de négocier des conditions avantageuses avec les banques ou les investisseurs. Votre nom, dans ce métier, c’est votre capital, résument Claire et John Bengtsson avec conviction. Après tout, un réseau solide et une réputation impeccable, c’est ce qui vous permet de passer du statut de débutant à celui de référence dans votre région.
Pourquoi le métier séduit-il autant ?
Il y a quelque chose de profondément gratifiant dans l’idée de transformer un bien pour lui redonner vie, tout en générant des profits. Cette dynamique attire de nombreux profils, qu’ils soient issus du monde de l’entrepreneuriat, de la finance ou même du marketing. Selon Claire & John Bengtsson, c’est cette combinaison unique de créativité et de stratégie qui rend ce métier aussi captivant.
C’est un métier où l’on peut laisser une empreinte tangible, car voir un immeuble délabré devenir un espace moderne et fonctionnel, c’est une satisfaction que peu de professions offrent. Et cette satisfaction va au-delà de l’aspect financier : il s’agit de participer activement à la transformation des espaces de vie, en tenant compte des besoins changeants des habitants.
Les défis du métier sont aussi une source de motivation pour les passionnés. A ce niveau, ce qui pousse Claire et John Bengtsson à continuer, c’est justement l’adrénaline de chaque projet, trouver le bon bien, négocier l’achat, mener les travaux et enfin conclure une vente satisfaisante. Chaque étape est un défi en soi. Mais attention, avertissent-ils : le succès ne s’improvise pas ! Beaucoup se laissent séduire par l’image glamour du marchand de biens, sans réaliser les efforts et les risques que cela implique. Ce métier, c’est du concret, et ça ne pardonne pas les erreurs.
L’impact des nouvelles technologies sur le métier
Le secteur du marchand de biens n’est pas épargné par la révolution numérique. Aujourd’hui, les outils digitaux jouent un rôle central dans la gestion des projets immobiliers. Selon Claire & John Bengtsson, ces technologies permettent d’optimiser les processus, de la recherche de biens à la gestion des travaux. Les plateformes d’analyse de données nous offrent une meilleure vision des tendances du marché. Grâce à elles, vous pouvez identifier des opportunités avant vos concurrents.
Les simulateurs de rentabilité, les applications de gestion de projets et les outils de réalité virtuelle transforment également la façon dont les marchands de biens travaillent. Pour Claire et John Bengtsson, pouvoir visualiser un bien rénové avant même le début des travaux, c’est un atout énorme pour convaincre des acheteurs ou des investisseurs. Cela dit, ils rappellent que la technologie ne remplace pas l’humain. Si les outils sont là pour nous aider, c’est toujours l’expertise qui fait la différence. Savoir interpréter les données, détecter une opportunité malgré des signaux contradictoires, cela reste un art que seule l’expérience peut enseigner.
Une carrière tournée vers l’avenir
L’avenir du métier de marchand de biens semble prometteur, porté par des tendances fortes comme l’immobilier écologique et les nouvelles technologies. Mais comme le soulignent Claire & John Bengtsson, les défis restent nombreux, car ce n’est pas un métier où l’on peut se reposer sur ses lauriers. Il faut toujours se réinventer, suivre les évolutions du marché et s’adapter aux nouvelles attentes des clients.
La durabilité est au cœur des préoccupations actuelles. Réhabiliter un bien pour le rendre plus écologique est désormais un impératif, autant qu’une opportunité. Les certifications environnementales et l’efficience énergétique sont des critères de plus en plus valorisés par les acheteurs. Pour Claire & John Bengtsson, investir dans des rénovations durables est non seulement un choix éthique, mais également un levier économique puissant. Un bien écoresponsable se vend plus vite et à un meilleur prix. C’est une évolution à laquelle aucun marchand de biens ne peut se permettre de tourner le dos.
Claire & John Bengtsson expliquent également que l’évolution des modes de vie urbains crée de nouvelles opportunités. Les villes se densifient, les besoins évoluent : on cherche désormais des espaces optimisés, modulables et connectés. Réhabiliter des biens anciens pour répondre à ces attentes est une stratégie gagnante.